Deux mois en mer pour explorer la contribution de l'océan Austral à la régulation du climat
Mieux comprendre la séquestration du CO2 atmosphérique dans l’océan, en particulier la manière dont des éléments chimiques essentiels à ce stockage sont apportés, transportés et transformés par les océans : voici l’objectif de l’expédition océanographique Swings.
Du 11 janvier au 8 mars 2021, une équipe coordonnée par deux chercheures du CNRS et impliquant notamment des collègues de Sorbonne Université, de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier, de l’Université de Bretagne occidentale et d’Aix-Marseille Université, parcourra, à bord du Marion Dufresne II affrété par la Flotte océanographique française, l’océan Austral à la découverte de ses secrets.
Pour aller plus loin, consultez :
- le communiqué de presse du CNRS
- le site Internet de l'expédition
- les articles de l'Exploreur (université fédérale de Toulouse)
- CNRS le Journal
Les laboratoires impliqués dans le projet Swings :
- Laboratoire des sciences de l'environnement marin (CNRS/Ifremer/IRD/Université de Bretagne occidentale)
- Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales (CNRS/Cnes/IRD/Université Toulouse III - Paul Sabatier)
- Laboratoire de météorologie dynamique (CNRS/ENS-PSL/École polytechnique/Sorbonne Université)*
- Laboratoire d'océanographie et du climat : expérimentations et approches numériques (CNRS/IRD/MNHN/Sorbonne Université)*
- Centre européen de recherche et d'enseignement de géosciences de l'environnement (CNRS/Inrae/IRD/Aix-Marseille Université)
- Laboratoire d'océanographie microbienne (CNRS/Sorbonne Université)
- Institut méditerranéen d'océanologie (CNRS/IRD/Université de Toulon/Aix-Marseille Université)
- Laboratoire Climat, environnement, couplages et incertitudes (CNRS/Cerfacs)
- Division technique de l'INSU du CNRS
* Ces deux laboratoires font partie de l'Institut Pierre Simon Laplace.
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Cette expédition a été financée par l’Agence nationale de la recherche (ANR), par la Flotte océanographique française opérée par l’Ifremer, par l’Institut national des sciences de l’univers du CNRS et par l’école universitaire de recherche IsBlue.
Elle est soutenue par les universités fédérales de Toulouse et de Bretagne occidentale.